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AGRESSION

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Dans le domaine des agressions, qu’il s’agisse de faits perpétrés sur la voie publique, de rixes ou de conflits familiaux où s’est exprimée la violence, le droit commun de la responsabilité  infos’applique.  En d’autres termes, pour obtenir une indemnisation, la victime doit démontrer la faute de l’agresseur et le lien de causalité entre la faute et le dommage qu'elle a subi.

 

La question de la preuve  info+ revêt une grande importance.

 

Le dépôt d’une plainte auprès de la police  info+ est nécessaire, faute de quoi les circonstances de fait seront difficiles à cerner.  Même si le Procureur décide de classer l’affaire sans suite, les procès-verbaux pourront être utilisés dans le cadre d’une action en dommages- intérêts ultérieure, à titre de preuve. Il ne faut donc jamais hésiter à déposer plainte ni (avec l’assistance d’un avocat) à se constituer partie civile entre les mains d’un juge d’instruction. La plainte n'est pas nécessaire lorsque la police est intervenue.

 

Il est fréquent que la victime rencontre des difficultés pour obtenir paiement des sommes mises à charge du ou des auteurs de l'agression ont été condamnés à lui payer. La plupart du temps, ils n’ont pas de biens ou de revenus et en ce cas, la victime ne sera pas indemnisée, alors même que le juge lui a accordé des dommages et intérêts.

 

Il peut être utile, avec l'aide d'un avocat, de prendre des mesures conservatoires  info+

 

La loi du 1er août 1995 a quelque peu amélioré la situation des victimes en mettant à charge de l’Etat fédéral la réparation du dommage provoqué par les actes de violence mais la réparation est arbitrée souverainement par la « Commission pour l’aide financière aux victimes d’actes intentionnels de violence » et est plafonnée à 62.000 €.

 

NOTE SUPPLEMENTAIRE

L'ensemble des développements juridiques que comporte le site est protégé par la législation sur les droits d'auteur (art. XI.165 du Code du droit économique)

 

© Tous droits réservés - Bernard Pinchart    I    Créé avec fierté par EFFICANCE.COMefficiance.com

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AGRESSION

 

 

Dans le domaine des agressions, qu’il s’agisse de faits perpétrés sur la voie publique, de rixes ou de conflits familiaux où s’est exprimée la violence, le droit commun de la responsabilité s’applique.  En d’autres termes, pour obtenir une indemnisation, la victime doit démontrer la faute de l’agresseur et le lien de causalité entre la faute et le dommage qu'elle a subi.

 

La question de la preuve revêt une grande importance.

 

Le dépôt d’une plainte auprès de la police  est nécessaire, faute de quoi les circonstances de fait seront difficiles à cerner.  Même si le Procureur décide de classer l’affaire sans suite, les procès-verbaux pourront être utilisés dans le cadre d’une action en dommages- intérêts ultérieure, à titre de preuve. Il ne faut donc jamais hésiter à déposer plainte ni (avec l’assistance d’un avocat) à se constituer partie civile entre les mains d’un juge d’instruction. La plainte n'est pas nécessaire lorsque la police est intervenue.

 

Il est fréquent que la victime rencontre des difficultés pour obtenir paiement des sommes mises à charge du ou des auteurs de l'agression ont été condamnés à lui payer. La plupart du temps, ils n’ont pas de biens ou de revenus et en ce cas, la victime ne sera pas indemnisée, alors même que le juge lui a accordé des dommages et intérêts.

 

Il peut être utile, avec l'aide d'un avocat, de prendre des mesures conservatoires.

 

La loi du 1er août 1995 a quelque peu amélioré la situation des victimes en mettant à charge de l’Etat fédéral la réparation du dommage provoqué par les actes de violence mais la réparation est arbitrée souverainement par la « Commission pour l’aide financière aux victimes d’actes intentionnels de violence » et est plafonnée à 62.000 €.

 

NOTE SUPPLEMENTAIRE